Le début effectif du processus d’accompagnement des entreprises artisanales pour qu’elles se conforment aux normes de certification ISO 9001 a eu lieu, hier, lors d’une cérémonie organisée à l’hôtel El-Djazaïr, en présence de la ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Yamina Nouria Zerhouni, et de la ministre déléguée, chargée de l'Artisanat, Aïcha Tagabou.
À cette occasion, cinq chambres d’artisanat ; Alger, Tipasa, Batna, Biskra et Constantine ont signé des conventions avec le Centre national de technologies et de consulting (CNTC) pour accompagner des entreprises artisanales dans ces wilaya dans le cadre d'une expérience pilote de préparation à la certification ISO 9001. Le CNTC devra également prendre en charge, en coordination avec l'Institut algérien de normalisation (IANOR), la formation des ressources humaines, chargées d'appliquer les critères de certification. S’exprimant en marge de la cérémonie, Mme la ministre Yamina Nouria Zerhouni a souligné que «le lancement de ce genre d’opération confirme l’importance qu’accorde l’État pour le développement des entreprises relevant du secteur du tourisme, notamment l’artisanat». Cette opération pilote, a-t-elle dit, «s’inscrit dans le programme de modernisation, lancé par son département ministériel depuis plusieurs années, et cela pour aider ce secteur dans ses missions comme il se doit, dans la perspective d’intégration des activités de l’industrie artisanale et les artisans dans le processus de la croissance économique».
La ministre a également mis l’accent sur l’approche de développement de la qualité dans le domaine de l’industrie artisanale qui repose globalement, selon elle, «sur le soutien de la formation continue des artisans, le développement de l'entrepreneuriat, la mise en valeur de la créativité et la qualité et la promotion des produits».
La ministre a insisté sur l'intérêt d'introduire la gestion de la qualité selon les normes ISO 9001 dans un cadre expérimental parce que, a-t-elle précisé, «il s'agit, d'un procédé scientifique et pratique qui permet aux artisans et aux entreprises artisanales de relever les défis».
La certification ISO, a expliqué la ministre, encouragera l'entreprise à «améliorer son image et sa notoriété sur le marché, gagner la confiance du client et du consommateur, réduire les charges de la production et augmenter sa rentabilité et ses gains».
Ce procédé est de nature à favoriser l'amélioration de l'outil de concurrence et l'accès aux marchés extérieurs, a-t-elle encore ajouté.
La ministre a également mis l’accent sur l’approche de développement de la qualité dans le domaine de l’industrie artisanale qui repose globalement, selon elle, «sur le soutien de la formation continue des artisans, le développement de l'entrepreneuriat, la mise en valeur de la créativité et la qualité et la promotion des produits».
La ministre a insisté sur l'intérêt d'introduire la gestion de la qualité selon les normes ISO 9001 dans un cadre expérimental parce que, a-t-elle précisé, «il s'agit, d'un procédé scientifique et pratique qui permet aux artisans et aux entreprises artisanales de relever les défis».
La certification ISO, a expliqué la ministre, encouragera l'entreprise à «améliorer son image et sa notoriété sur le marché, gagner la confiance du client et du consommateur, réduire les charges de la production et augmenter sa rentabilité et ses gains».
Ce procédé est de nature à favoriser l'amélioration de l'outil de concurrence et l'accès aux marchés extérieurs, a-t-elle encore ajouté.
EL MOUDJAHID
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