Une enveloppe de 3,63 milliards DA est allouée par la Société de gestion immobilière (SOGI) de la wilaya de Tizi-Ouzou pour le développement de la zone industrielle de Oued Aissi et des zones d’activités de la wilaya durant la période allant de 2014 à 2022, apprend-on dimanche auprès de cet organisme.
Plus de 2 milliards de dinars de cette enveloppe seront destinés aux grands travaux (terrassement, voiries et réseaux divers, éclairage…), qui seront pris en charge par l’Etat, indique la même source, ajoutant que le reste de la cagnotte, soit un peu plus de 1,5 milliard de dinars, est réservé aux investissements de modernisation, qui seront financés dans le cadre d’emprunts.
La direction locale de la SOGI, souligne que "la réhabilitation et la modernisation de toutes les zones d’activités aux standard universels par les pouvoirs publics, relancera l’investissement au niveau de la wilaya".
La SOGI relève que les réseaux communs de la zone industrielle de Oued Aissi et des zones d’activité, "ont atteint un niveau de dégradation avancé et nécessitent une réhabilitation et une modernisation urgente".
Il est déploré, à cet égard, que les opérateurs économiques activant au niveau de ces zones, ne s’acquittent pas de leurs quotes-parts financière nécessaires au financement de la gestion et de l’entretien des parties communes.
Avec un taux de recouvrement de seulement 20%, les créances de ces opérateurs auprès de la SOGI sont estimées à près 78 millions de dinars, "ce qui fait rentrer la société, dans une phase critique de déficit", précise-t-on de même source
APS
La direction locale de la SOGI, souligne que "la réhabilitation et la modernisation de toutes les zones d’activités aux standard universels par les pouvoirs publics, relancera l’investissement au niveau de la wilaya".
La SOGI relève que les réseaux communs de la zone industrielle de Oued Aissi et des zones d’activité, "ont atteint un niveau de dégradation avancé et nécessitent une réhabilitation et une modernisation urgente".
Il est déploré, à cet égard, que les opérateurs économiques activant au niveau de ces zones, ne s’acquittent pas de leurs quotes-parts financière nécessaires au financement de la gestion et de l’entretien des parties communes.
Avec un taux de recouvrement de seulement 20%, les créances de ces opérateurs auprès de la SOGI sont estimées à près 78 millions de dinars, "ce qui fait rentrer la société, dans une phase critique de déficit", précise-t-on de même source
APS
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